Malgré de longs échanges de mails et une rencontre la veille avec Rashit, notre correspondant local, nous ne savons pas grand chose sur l'organisation. La surprise durera jusqu'à l'arrivée de Volodia et Svieta avec qui nous ferons la balade.
Première surprise, la version locale du catamaran. Sans voiles.
Nous voguons tranquillement vers le nord du lac, passons l'immense estuaire de l'Angara supérieure pour atteindre la rive est que l'on ne peut rejoindre qu'en bateau. Les paysages sont superbes. La forêt est là, telle que décrite par Sylvain Tesson.
Volodia est un vrai expert de la vie en forêt. Ses campements et repas au feu de bois valent tous les quatre étoiles.
Nous faisons aussi des rencontres amusantes. Des promeneurs amis de Svieta,
... ou un capitaine au long cour et son drôle de navire.
En plus de couchers de soleil somptueux,
... nous avons également droit à la pleine lune sur la baie d'Ayaya.
Le lac de Frolikha au dessus du Baikal est une vraie merveille. Et le sentier pour l'atteindre aussi.
Nous profitons des bains de Khakoussi pour nous décrasser un peu car l'eau du lac est trop froide pour s'y tremper. À peine à t-on envie d'y mettre les pieds. Désolée pour mon doigt sur la photo, c'est la seule disponible sur l'iPhone!
Autre surprise: nous avions lu que l'eau du lac était si pure qu'on pouvait la boire. On confirme. Mais l'air est également d'une pureté hallucinante. Alors que 40 km séparent les deux rives du lac, on voit toujours l'autre côté. Un petit aperçu avec cette photo prise de la baie d'Eviena.
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